Hanoï

1h40 de vol et les roues touchent la piste d’atterrissage. Je sors de l’avion et je me dirige vers le guichet de l’immigration, l’officier contrôle mon passeport et mon visa, tout est en règle et il appose son tampon. A la sortie de l’aéroport, bien que les navettes pour rejoindre le centre ville ne soient pas chères (2,5$), je sais qu’il y a un bus public et préfère tenter cette option. Après quelques minutes d’attente, il arrive, je grimpe dedans, paye 0,35$ et un peu plus d’une heure plus tard je me retrouve en centre ville. Je tourne plusieurs minutes en rond mais persiste et finis par trouver la rue de ma nouvelle auberge.

Je passe les trois jours qui suivent à arpenter la capitale, le plus souvent avec Jordan, un Américain. Je me rends à la cathédrale St Joseph, visite la prison Hoa Lo, me promène dans le quartier Français jusqu’à l’Opéra, admire la pagode Tran Quoc, longe différents lacs, passe devant le mausolée d’Ho Chi Minh et marche sur le pont Long Bien.

La vieille ville est particulièrement intéressante, rues étroites, circulation dense, trottoirs occupés plus par les scooters, commerces et points de restauration que par les piétons. La traversée d’une rue est une expérience à part entière, les voitures et scooters sont les rois et ne s’arrêtent pas, le flux de la circulation vous contourne au fur et à mesure de votre progression…  et ça fonctionne !

Côté nourriture, je goûte baguettes et pâtisseries Vietnamiennes, un héritage de la période coloniale française. Je partage un repas avec d’autres étrangers dans un restaurant qui sert des nouilles particulièrement bonnes et nous buvons quelques pintes de bière à 0,70€.

Le weekend arrive et j’ai prévu de le passer dans la baie d’Halong, Jordan sera aussi du voyage.